J'ai une capacité toute particulière à rendre confus mon interlocuteur quand je parle, avec ma spéciale attaque digression. Et c'est une des raisons qui fait que prendre la parole m'effraie quelque peu.
Connaitre ses faiblesses, mais toujours essayer.
En écoutant Ann Rea de CreativeLive, je me suis rendue compte que engager et poursuivre une conversation (avec des inconnus surtout), n'allait pas obligatoirement devenir naturel avec le temps.
Eh bien autant m'y préparer, et ne pas m'infliger d'avantage de pression. "On ne peut pas être excellent partout" vais-je penser pour me rassurer, comme on me l'a enseigné avec une pointe d'ironie.
Mais cela ne veut pas pour autant dire que je dois renoncer. Il faut que je mette le doigt sur mon interet à parler à une personne, et que je me dise que me jeter à sa rencontre vaudra le coup, sans regret, même si mes mots me font un peu passer pour une idiote pendant un temps.
Dans un exemple de Ann Rea, il pouvait s'agir de la volonté de trouver de nouveaux clients à son entreprise, mais il peut tout aussi bien s'agir de connaitre d'avantage une personne que l'on juge intéressante.
Cela rejoint une idée récemment entendue qui disait que l'enthousiasme est plus important que la confiance en soi, qui m'aiderait à parler de sujets qui me passionnent sans me soucier de l'exactitude de mes propos envers ceux-ci.
Bref, il faut se faire violence, et ne pas chercher trop d'excuses pour ne pas parler aux gens.
Être dans le moment, et moins se juger.
Il y a quelques semaines, j'ai également dévoré les vidéos de Anna Akana.
Dans une vidéo, parlant du ridicule de la recherche désespérée à faire que les autres nous aime (dans n'importe quelle relation sociale finalement), elle souligne qu'il est plus efficace de se rendre digne d'être aimé. Et c'est une superbe différence en fait. Imaginer le regard d'autrui ne m'aidera pas.
Je suis aussi du genre à penser au fait que je bloque quand je bloque. Cela me rend donc anxieuse, et je deviens consciente que les autres peuvent pendant ce temps percevoir mon anxiété. Ce qui me fait bloquer... = cycle viscieux de la mort.
Je dois arreter de me juger dans l'action car j'augmente la possibilité de m'embrouiller. J'aurais tout le temps du monde à posteriori de revenir sur mes bizarreries.
Connaitre ses faiblesses, mais toujours essayer.
En écoutant Ann Rea de CreativeLive, je me suis rendue compte que engager et poursuivre une conversation (avec des inconnus surtout), n'allait pas obligatoirement devenir naturel avec le temps.
Eh bien autant m'y préparer, et ne pas m'infliger d'avantage de pression. "On ne peut pas être excellent partout" vais-je penser pour me rassurer, comme on me l'a enseigné avec une pointe d'ironie.
Mais cela ne veut pas pour autant dire que je dois renoncer. Il faut que je mette le doigt sur mon interet à parler à une personne, et que je me dise que me jeter à sa rencontre vaudra le coup, sans regret, même si mes mots me font un peu passer pour une idiote pendant un temps.
Dans un exemple de Ann Rea, il pouvait s'agir de la volonté de trouver de nouveaux clients à son entreprise, mais il peut tout aussi bien s'agir de connaitre d'avantage une personne que l'on juge intéressante.
Cela rejoint une idée récemment entendue qui disait que l'enthousiasme est plus important que la confiance en soi, qui m'aiderait à parler de sujets qui me passionnent sans me soucier de l'exactitude de mes propos envers ceux-ci.
Bref, il faut se faire violence, et ne pas chercher trop d'excuses pour ne pas parler aux gens.
Être dans le moment, et moins se juger.
Il y a quelques semaines, j'ai également dévoré les vidéos de Anna Akana.
Dans une vidéo, parlant du ridicule de la recherche désespérée à faire que les autres nous aime (dans n'importe quelle relation sociale finalement), elle souligne qu'il est plus efficace de se rendre digne d'être aimé. Et c'est une superbe différence en fait. Imaginer le regard d'autrui ne m'aidera pas.
Je suis aussi du genre à penser au fait que je bloque quand je bloque. Cela me rend donc anxieuse, et je deviens consciente que les autres peuvent pendant ce temps percevoir mon anxiété. Ce qui me fait bloquer... = cycle viscieux de la mort.
Je dois arreter de me juger dans l'action car j'augmente la possibilité de m'embrouiller. J'aurais tout le temps du monde à posteriori de revenir sur mes bizarreries.
Vous avez deja été mal à l'aise à l'oral?
Avez-vous trouvé des solutions pour parler de façon plus sereine et claire?
Know your weaknesses, but always try.
Avez-vous trouvé des solutions pour parler de façon plus sereine et claire?
EN // I have the specialy to confuse my interlocutor(s) while speaking with my digressions attack. And it's one of the reason I tend to be afraid to speak.
Know your weaknesses, but always try.
By listening Ann Rea on creativeLIVE, I realized that initiate and sustain a conversation (especially with strangers) won't necessarily become natural over time.
Now I'm prepared, and I can try to not inflict me more pressure. "You can not be good everywhere," I'll think to reassure me, as I was taught with a touch of irony.
But that does not necessarily mean that I have to give up. I have to pinpoint my interest to talk to someone, and I must think to start a conversation with him might be worth, without regret, even if my words make me sound a little dumb for a while.
In an example from Ann Rea, he could be the desire to find new customers to my business, but it can also be the simple desire to know a person I find interesting.
It joins an idea I recently heard saying that enthusiasm is more important than self-confidence, which would help me to talk about subjects that fascinate me without worrying about the accuracy of the vocabulary I use about them. In short, we must do violence, and not try too many excuses not to talk to people.
To be in the moment, and less judgmental.
A few weeks ago, I also devoured Anna Akana's videos .
In a video, speaking of the desperate quest to make others like us (in any social relationship finally), she says it is more efficient to make yourself worthy of being loved. And it's a great difference in fact. Imagine the judgment of others will not help me.
I'm also kind of thinking about the fact that I blocked when I blocked. So that makes me anxious, and I become aware that others may meanwhile perceive my anxiety. Which makes me ... block = viscious cycle of death.
I must stop judging myself live as it increases the possibility of confusion. I have all the time in the world to think about my strange-self later.
Now I'm prepared, and I can try to not inflict me more pressure. "You can not be good everywhere," I'll think to reassure me, as I was taught with a touch of irony.
But that does not necessarily mean that I have to give up. I have to pinpoint my interest to talk to someone, and I must think to start a conversation with him might be worth, without regret, even if my words make me sound a little dumb for a while.
In an example from Ann Rea, he could be the desire to find new customers to my business, but it can also be the simple desire to know a person I find interesting.
It joins an idea I recently heard saying that enthusiasm is more important than self-confidence, which would help me to talk about subjects that fascinate me without worrying about the accuracy of the vocabulary I use about them. In short, we must do violence, and not try too many excuses not to talk to people.
To be in the moment, and less judgmental.
A few weeks ago, I also devoured Anna Akana's videos .
In a video, speaking of the desperate quest to make others like us (in any social relationship finally), she says it is more efficient to make yourself worthy of being loved. And it's a great difference in fact. Imagine the judgment of others will not help me.
I'm also kind of thinking about the fact that I blocked when I blocked. So that makes me anxious, and I become aware that others may meanwhile perceive my anxiety. Which makes me ... block = viscious cycle of death.
I must stop judging myself live as it increases the possibility of confusion. I have all the time in the world to think about my strange-self later.