Je reviens vous parler de 2 expositions entre Art et Astronomie auxquelles je me suis rendue, l'une il y a presque 1 an, et l'autre il y a quelques jours.
J'ai découvert le premier grâce à un tweet du Quai des savoirs - découvert en suivant l'Observatoire Midi-pyrénées - (et c'est pour ce genre de raison que je reste sur les réseaux sociaux!), et l'autre en recherchant que faire sur Toulouse pour me rapprocher de la gare et prendre mon train peu après.
Infiniment. Le pays des étoiles
Cette exposition donnait à voir différents imaginaires stellaires commentés par des astrophysiciens et sociologue.Caroline Corbasson (dont j'ai découvert le travail à peine un an plus tôt) produit des spectres charbonneux représentant des éléments du cosmos - simple poussière ou galaxie créatrice. Elle assombrit les images pour les regrouper sous un même ciel où tout redevient poussière.
Fred Biesmans nous emporte dans des mondes miniatures et foisonnant en céramique quand Simon Ripoll-Hurier s'associt à atelier graphique Villa Böhnke pour créer une scénographie documentée autour de l'Homme qui observe.
Past Forward, Playground & Higherground
Les photographies de l'exploration spatiale personnelle de Vincent Fournier ouvrent l'exposition. Son travail mêle les situations paradoxales où se mélangent naturel et artificiel, passé et futur, fiction et réalité. The man machine, son autre projet, met en scène des fictions spéculatives avec des robots de haute technologie dans notre vie quotidienne, faisant ressurgir "la vallée de l'étrange" et mêle un sentiment d'empathie comme de mise à distance.
"Le temps passe et l'espace n'est encore qu'un rêve d'humanité. Les fusées sur les terrains de jeux pour enfants sont devenus des tas de ruines rouillées". Telle est la nostalgie qu'on perçoit au travers de la collection de Ivan Mikhailoc.
Enfin, une vidéo de Hillerbrand+Magsament relate une odyssée familiale: parents et enfants démontent leur maison et leurs objets de consommation pour construire un engin spatial onirique et atteindre l'espace.
J'ai découvert le premier grâce à un tweet du Quai des savoirs - découvert en suivant l'Observatoire Midi-pyrénées - (et c'est pour ce genre de raison que je reste sur les réseaux sociaux!), et l'autre en recherchant que faire sur Toulouse pour me rapprocher de la gare et prendre mon train peu après.
Infiniment. Le pays des étoiles
Mai 2017 Pavillon blanc, Colomiers //EN SAVOIR PLUS
Cette exposition donnait à voir différents imaginaires stellaires commentés par des astrophysiciens et sociologue.Caroline Corbasson (dont j'ai découvert le travail à peine un an plus tôt) produit des spectres charbonneux représentant des éléments du cosmos - simple poussière ou galaxie créatrice. Elle assombrit les images pour les regrouper sous un même ciel où tout redevient poussière.
Fred Biesmans nous emporte dans des mondes miniatures et foisonnant en céramique quand Simon Ripoll-Hurier s'associt à atelier graphique Villa Böhnke pour créer une scénographie documentée autour de l'Homme qui observe.
"Les artistes se faisant les cartographes et les poètes de mondes inaccessibles; et les scientifiques, les interprètes de ces représentations.Vecteur de connaissance, intuition ou exploration d'un sujet scientifique, les œuvres prennent ici leur sources dans la rumeurs de étoiles" Hélène Picot
Past Forward, Playground & Higherground
Mars 2018 Le château d'eau, Toulouse //EN SAVOIR PLUS
Les photographies de l'exploration spatiale personnelle de Vincent Fournier ouvrent l'exposition. Son travail mêle les situations paradoxales où se mélangent naturel et artificiel, passé et futur, fiction et réalité. The man machine, son autre projet, met en scène des fictions spéculatives avec des robots de haute technologie dans notre vie quotidienne, faisant ressurgir "la vallée de l'étrange" et mêle un sentiment d'empathie comme de mise à distance.
"Le temps passe et l'espace n'est encore qu'un rêve d'humanité. Les fusées sur les terrains de jeux pour enfants sont devenus des tas de ruines rouillées". Telle est la nostalgie qu'on perçoit au travers de la collection de Ivan Mikhailoc.
Enfin, une vidéo de Hillerbrand+Magsament relate une odyssée familiale: parents et enfants démontent leur maison et leurs objets de consommation pour construire un engin spatial onirique et atteindre l'espace.